la grande bellezza critique

Only the beer was good, and it is a pitty because i order the most expensive food their have, the tomahawk, but it was like gum, impossible to eat and the roasted potatoes, awful, they were cooked the day before and they tried to fool...We had the pasta that was very ncie.

Une religieuse apparaît et les rappelle à l'ordre. : Publiée le 9 mars 2014 Il serait même tentant de dire que tout est indécent tant cette richesse, cet étalage vulgaire, cet univers stérile, sont aux antipodes de la vie de l'homme qui lui, se bat pour vivre au quotidien surtout dans le contexte actuel ! 738 people follow this. Publiée le 19 juillet 2019

Si filmer des beaux plans de Rome suffit à se faire comparer à Fellini, je crois que les écoles de cinéma ont raté quelque chose... Si l'on pense à 8 1/2 qui suit la recherche d'inspiration d'un artiste (un vrai et pas un bouffon mondain) dans une quasi quête existentialiste, la pensée intellectuelle Fellinienne est nettement plus supérieure à celle de Sorrentino qui schématise bien vite une certaine mélancolie du jet-setter à la recherche de la "grande beauté". : Very skillful in a lot of languages and in handling customer.

Las! Not Now.

La littérature nous a très souvent servi ce genre de menu bien mieux inspiré d'ailleurs, pour que l'on soit de nouveau alléché par la vie de Jeppino auquel on a bien du mal à s'attacher !

Rarement film de ces dernières années n'a atteint un tel niveau ! Publiée le 16 novembre 2013

Jep Gambardella has seduced his way through the lavish nightlife of Rome for decades, but after his 65th birthday and a shock from the past, Jep looks past the nightclubs and parties to find a timeless landscape of absurd, exquisite beauty. Although there is no way of really knowing, as I said, I like to think that it is a silent tribute to Fellini’s masterpiece.The Great Beauty I would argue, is what critics would call a modern classic. Yaron Shani Suivre son activité Son sujet: La jet-set romaine désoeuvrée. Les deux premières heures sont très réussies, dommage que la dernière partie, qui voit arriver le personnage de "La Sainte", traîne en longueur, et fasse durer inutilement le film. Mais qu'importe, on a malgré tout affaire à du bon cinéma, beau et ambitieux. Agnieszka Holland Publiée le 2 mars 2014

Community See All. Via Quintino Sella 2 (5,306.24 mi) Busto Arsizio, Italy 21052 . Que Sorrentino ait souhaité adresser un ample coup de chapeau à ses devanciers illustres, (...) voilà qui s'entend et se voit, mais au cinéma comme ailleurs l'hommage n'est appréciable que s'il vient en sus, ou à côté, et en aucun cas ne peut prétendre donner à l'oeuvre sa raison d'être et sa signification.

En 2013, il serait enfin temps de voir un peu plus loin que ce thème maintes fois traité en se penchant sur des sujets autrement plus préoccupants... Mais la "sainte", lorsqu'elle daigne enfin répondre aux questions qu'on lui pose, n'a que ceci à dire: "j'ai épousé la pauvreté, et la pauvreté ne se raconte pas, elle se vit!"

Catherine Deneuve, Vincent Dedienne, Alice Belaïdi

Film absolument magnifique, d'un raffinement de tous les instants, d'une intelligence de tous les instants, d'une richesse infinie, un bijou de ce grand cinéma qu'est le cinéma transalpin (après la récente "Belle endormie" du vétéran Bellochio). Arrivé à un tournant de sa vie, Jep se demande s'il pourra se sortir de l'impasse dans laquelle il s'est fourré. Malgré un esthétisme réussi et de très beaux plans de la cité éternelle dans la splendeur de l'été, la réalisation s'avère rapidement interminable et prétentieuse. il interprète avec un immense talent un homme aux premiers signes de vieillesse qui s'est assez tôt prècipitè, sans presque s'en rendre compte, dans ce que l'on peut dèfinir comme le tourbillon des mondanitès, à l'image d'une certaine Italie (celle du XXIe siècle), grâce auquel il rejoint le Marcello Mastroianni de "La dolce vita".

Une certaine idée de la grande bellezza, finalement. Mathieu Kassovitz

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