versailles ville idéale

Place d'Armes, Versailles Exploration des pistes qui, déjà, rendent nos vies de citadins plus belles et plus douces.Avec Pascale Dalix et Sophie Deramond, architectes ; Nicolas Gilsoul, paysagiste ; Jean-Christophe Nani paysagiste ; Philippe Clergeau, écologueLe débat vise à explorer, à un siècle de la fondation de l’école du Bauhaus, les différentes formes d’intégration des arts dans l’architecture dans la période contemporaine.De l’omnibus tracté à cheval au Grand Paris Express, deux siècles d’histoire des transports qui reflètent l’évolution de nos rêves et nos modes de vie collectifs.Avec Arnaud Passalacqua , historien ; Vincent Tournié, historienChaque dimanche, venez découvrir des projections de films, des conférences, un atelier culinaire et le petit marché des paysans-producteurs présents dans l’exposition le Goût du paysage au Potager du Roi.Cinéma de campagne : « La terre en morceaux » d’Ariane Doublet, 2015 (55mn), séance en présence d’Ariane Doubletavec Alexandre Chemetoff, commissaire de l’exposition, Vincent Piveteau, directeur de l’Ecole nationale supérieure de paysage ;avec Alexandre Chemetoff, Arnauld Duboys Fresney, photographe et directeur artistique, Antoine de Roux, photographe et réalisateur de films, Gilberte Tsaï, auteure et metteure en scène et Ariane Doublet, réalisatrice de films ;avec Henri Bava, paysagiste et cofondateur de l’Agence Ter, et Michel Desvignes, paysagiste et urbaniste.Cinéma de campagne : « Les glaneurs et la glaneuse » d’Agnès Varda, 2000 (1h20)des paysans-producteurs viennent vendre leurs produitsLes Petites conférences « Lumières pour enfants » : Dévorer le paysage, par Jean-Christophe Bailly, écrivain et philosopheLes conversations paysagères : Transmettre avec Jacques Coulon, paysagiste, et Jean-Pierre Clarac, paysagisteCinéma de campagne : « Le temps des forêts » de Xavier Drouet, 2018 (1h43), séance en présence de Xavier Drouetdes paysans-producteurs viennent vendre leurs produitsLes Petites conférences « Lumières pour enfants » : Être aubrac par Michel Bras, cuisinier étoiléLes conversations paysagères : Le retour à la terre ou retour sur Terre avec Jean-Christophe Bailly, écrivain, et Rémi Janin, paysagiste, agriculteur et enseignant.Ecole Nationale supérieure d’architecture Paris MalaquaisCinéma de campagne : « Sans Adieu » de Christophe Agou, 2017 (1h39mn), séance en présence de Pierre Vinour, producteur du filmLe Petit marché, des paysans-producteurs viennent vendre leurs produitsLes Petites conférences « Lumières pour enfants » : La guerre des graines par Catherine Flohic, éditrice et auteureLes conversations paysagères : Économie du paysage cultivé avec Matthieu Calame, ingénieur agronome, et Yann Moulier-Boutang, économisteL’adaptation aux milieux comme clé de l’intelligenceEcole Nationale supérieure d’architecture Paris Malaquaisséance sur les prémices d’une conscience environnementaleCinéma de campagne : « Anaïs s’en va-t-en guerre » de Marion Gervais, 2014 (46mn), séance en présence d’Anaïs Kerhoas et de Marion Gervaisdes paysans-producteurs viennent vendre leurs produitsLes Petites conférences « Lumières pour enfants » : La terre est une marmitte par Ryoko Sekiguchi, écrivainLes conversations paysagères : Courances va nourrir Paris, « Western » avec Valentine de Ganay, écrivaine et agricultrice, et Bruno Saillet, ingénieur des techniques agricolesEcole Nationale supérieure d’architecture Paris MalaquaisParcours biennale sur le site de la Petite Écurie, accompagné d’un médiateur, suivi d’un atelier pratique parents/enfantsArchitecte, docteur en urbanisme et aménagement, ancien enseignant en histoire de l’architecture. Ce « laboratoire » propose des clefs pour aider chacun, professionnel ou néophyte, à chercher des réponses aux défis posés par la COP21.Dans les cours, on trouve enfin trois pavillons imaginés par trois agences internationales : un café d’été (Piovenefabi), une classe d’été (Go Hasegawa) et la Petite école d’architecture pour les enfants (MOS Architects).La relation de l’homme à son environnement est inhérente à l’histoire du château de Versailles, comme elle reste au cœur des préoccupations d’aujourd’hui. La Cité a donc accueilli un concours international d’architectes sur le Grand Paris qui était en train de naître, puis deux expositions : Habiter écologique, en 2009, et La ville fertile, en 2011. Trois grandes stratégies sont à l’œuvre : le Nappage, l’Immersion et l’Oubli.En Inde, en Amériques, au Moyen-Orient ou en Asie, Échappées belles présente 12 stratégies de reconquête complémentaires qui répondent à des dynamiques dépassant l’échelle régionale : l’érosion des côtes urbaines, la montée des océans, les pluies intenses ou trop rares, les canicules, les ressources, la crise de la biodiversité, la gestion de nos déchets et la révolution des mobilités.Le Potager du Roi a été construit entre 1678 et 1683 par Jean-Baptiste La Quintinie, à la demande de Louis XIV.

Pas loin de dix ans plus tard, la prise de conscience est là, mais il s’agit maintenant de mobiliser pour entrer dans la réalisation concrète. Lorsque Louis XIV a créé ex-nihilo ou presque sa « ville nouvelle », le souverain avait sans doute souhaité que soit apportée une réponse à ce défi plus que jamais d’actualité : inventer un mariage harmonieux entre nature et architecture. Là encore, ce lieu illustrera la richesse du dialogue entre passé et présent. École nationale supérieure d'architecture Il a été également chargé par l’École de la transformation du Pavillon des Suisses et de l’aménagement temporaire du Jardin des Suisses, deux lieux à découvrir pour la première fois à l’occasion de la Biennale.La manifestation Le goût du paysage se décline en deux parties : d’une part les installations et expositions, d’autre part les journées événements.L’exposition propose une mise en scène autour des portraits de 25 paysans-producteurs d’Île-de-France cultivant chacun un domaine représentatif de la diversité des productions de la région.Dans une pièce transformée en salle de projection permanente, de nombreux reportages viennent enrichir cette programmation.Le dimanche, la journée s’ouvre sur des séances de cinéma de campagne, puis on déjeune, on déguste, on goûte, on partage les fruits de la terre dans le Jardin des Suisses.

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